La journée du 19 novembre 2018 a été marquée par des visites à L’Economiste du Faso. Aux environs de 9h, la rédaction a accueilli les membres du Conseil supérieur de la communication (CSC). Autour de la table, les échanges ont tourné autour d’un partenariat entre les deux structures. «Il s’agit pour nous de casser cette image de gendarme de la presse et de créer un partenariat afin que les journalistes se sentent chez eux quand ils viennent au CSC», a annoncé, à introduction, Alexis Konkobo, conseiller au CSC.
Accompagnés de Séni Dabo et de Zoumana Wonogo, deux autres conseillers du CSC, ainsi que des représentants du service juridique, M. Konkobo est venu prendre le pool de la relation entre le CSC et L’Economiste du Faso.
Une occasion pour le directeur de publication de L’Economiste du Faso, Abdoulaye Tao, de dresser les difficultés que rencontrent les journalistes actuellement. Il s’agit, entre autres, du plagiat et du piratage d’articles.
A la suite des échanges avec le CSC, L’Economiste du Faso a reçu une délégation du groupe d’amitié maroco-burkinabè. Composée de parlementaires burkinabè, la délégation a été accompagnée par l’ambassadeur du Maroc au Burkina Faso, Farhat Bouazza.
Après avoir fait la présentation du journal, la rédaction de L’Economiste du Faso a répondu aux questions des parlementaires. Ceux-ci, tout en félicitant le journal pour son travail et sa spécialisation, ont fait des recommandations : plus d’analyses et d’articles ciblés sur la fiscalité et la vie des entreprises. Au terme des échanges, les deux groupes ont été invités à partager le «Café de L’Economiste».
J.B