• ENAREF: une cuvée d’assureurs mise sur le marché
L’Ecole nationale des régies financières (ENAREF) a abrité, le 16 septembre dernier, la cérémonie de sortie de la 22e promotion d’étudiants formés en techniques d’assurances par le Centre professionnel de formation en assurances (CPFA); une unité décentralisée de l’Institut international d’assurances de Yaoundé (IAA).
• La Chambre de commerce fête ses 70 ans
La Chambre de commerce et d’industrie du Burkina (CCI-BF) fêtera son 70e anniversaire cette année. La commémoration aura lieu les 13 et 14 septembre. Des panels de haut niveau sont prévus; ce avec la participation des présidents des Chambres de commerce des pays voisins.
• L’Economiste du Fasso invité à une soutenance de thèse à Bordeaux
Notre compatriote Daouda Diallo, et par ailleurs chroniqueur fiscal de votre Journal, a présenté sa thèse de doctorat à l’université de Bordeaux; Institut Duguit; le 14 septembre dernier. Il a soutenu le thème «L’adaptation des dispositifs fiscaux dans le processus de communautarisation en Afrique: cas de l’UEMOA». L’Economiste du Faso, qui était sur place, reviendra dans sa prochaine édition sur cet événement.
• PPP: l’Etat burkinabè signe un contrat avec le groupe EBOMAF
Le gouvernement burkinabè veut se doter d’une nouvelle voie de contournement, en remplacement du boulevard Circulaire conçu dans les années 1990 au profit des véhicules d’un certain gabarit qui est aujourd’hui dépassé. Cette nouvelle route longue de 125 km, qui va coûter la somme de 181 milliards de FCFA, est attribuée au groupe EBOMAF du Burkinabè Mahamadou Bonkoungou, sous la forme de Partenariat public-privé (PPP).
• Réhabilitation d’infrastructures: soutiens tous azimuts au Burkina
Il est ressortir du Conseil des ministres du 12 septembre 2018 que le Japon, à travers l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), va soutenir financièrement le Burkina Faso dans la réhabilitation de la route Goughin-Fada N’Gourma-Piéga-frontière du Niger à hauteur de 28,630 milliards de FCFA. En plus de ce partenaire, la Banque africaine de développement injecte 60,16 milliards de FCFA, l’Union européenne 18,370 milliards de FCFA et la Commission de l’UEMOA 1,165 milliard de FCFA. La contribution de l’Etat s’élève à 17,425 milliards de FCFA, pour un projet d’un coût global de 125,75 milliards de FCFA HT.
• Privatisation d’entreprises: la Minoterie du Faso en vente
Selon le gouvernement burkinabè, la Minoterie du Faso (MINOFA) fait face à des difficultés financières qui ne lui permettent pas de réaliser des résultats positifs.
Face à cette situation, l’Etat veut s’en désengager en la privatisant. La MINOFA est une société d’Etat qui a démarré ses activités en 2015 avec pour mission la production de farines de blé et de maïs, d’aliments pour bétail et d’autres sous-produits. A l’occasion de la 26e assemblée générale des sociétés d’Etat tenue en 2018, il était ressorti du rapport que l’exercice 2017 avait enregistré deux sociétés d’Etat déficitaires, à savoir la MINOFA et la SBT, pour un déficit cumulé de 696 millions de FCFA.
• Situation sécuritaire: quel le bilan partiel de la loi de programmation militaire ?
Le 12 septembre dernier, s’ouvrait la deuxième session extraordinaire de l’assemblée nationale. Une session convoquée par Alassane Bala Sakandé, président de l’Assemblée nationale. A l’ordre du jour: la situation sécuritaire au Burkina Faso. Ces dernières semaines, le pays a perdu des hommes dans les rangs de l’armée nationale. Un contexte qui permettra aux députés de l’Assemblée de faire un bilan partiel de la mise en œuvre de la loi de programmation militaire 2018-2022. Adoptée par l’AN en décembre 2017, elle a permis au gouvernement d’augmenter les crédits alloués au ministère de la Défense. 10 mois, après «il est question de donner à notre action contre le terrorisme de nouvelles perspectives en inscrivant dans notre arsenal de lutte tous les moyens possibles; humains, législatifs, politiques et budgétaires», a conclu le président de l’hémycicle.